Ras le bol de chez ras le bol. L’étau se resserre, lentement mais surement. Plus de bals, de concerts, de musique, de brocantes, pas de rassemblements, de manifestations, de rencontres. Tout ça pour rien. La volonté politique de retreindre les libertés dans l’espace public est à l’œuvre. La stratégie du pouvoir est clairement d’assimiler la liberté, c’est-à-dire ce que nous avons soi disant acquis avec la démocratie, à la propagation du virus. Et ils ont plein de raisons convergentes pour cela. Surtout bien sûr l’envahissement médiatique. Cet envahissement leur permet de complètement occulter la réalité pour monopoliser la parole, leur parole, seulement celle des dirigeants.
Si vous aviez encore un doute sur le rôle fondamental des médias pour soutenir les politiques je suis sûr qu’il a disparu. Quand même quelque incendies et explosions, n’ayant aucun rapport avec le virus ont réussis à se glisser dans le paysage. Explosions beaucoup plus dévastatrices que le virus et qui permettent au pouvoir en campagne électorale de se faire de la pub sur le malheur des autres, honteux. Mais on revient bien vite aux délices des mesures, annonces, enquêtes, prises de positions, petites phrases, faits divers le tout dans un contexte internationalisé, ce qui permet de maintenir le couvercle de la peur sur la population.
Réfléchissez un peu et demandez-vous en quoi la découverte de trois cas en Colombie peut nous concerner. En aucun cas évidemment. C’est le même syndrome que le meurtre d’un drogué en Californie ou d’un accident de train en Chine. Nous ne sommes absolument pas concernés mais ça permet de maintenir la pression. Avez-vous noté à quel point la communication gouvernementale, entretient un flou complet sur tout ce qui touche le virus. C’est de la grande manipulation.
En continuant le raisonnement, on comprend que trois cas en Finlande, en Allemagne et même en Mayenne ne nous concernent en aucune manière. Personne n’a jamais pu établit un lien de causalité entre des cas à Montpellier et des cas à Toulouse. Et pour cause, il n’y en a pas. L’inverse est particulièrement probant. Au contact de porteurs estampillés et malades peu de personnes ont attrapés le virus. Quelques dizaines certes mais très peu.
Néanmoins les médias n’arrêtent pas de parler de la circulation du virus, ce qui ne veut rien dire, pour faire croire qu’un cas en Alsace peut entrainer un cas à Perpignan. C’est de l’intox pure et dure. L’ambiguïté est d’assimiler la fréquentation d’un lieu par les gens à la transmission du virus en oubliant complètement que pour qu’il y ait transmission il faut, d’abord, qu’il y ait au moins une personne qui l’ait.
Et c’est exactement ce que personne ne peut démontrer ni ne sait parce que il est clair que depuis des mois nous n’en avons pas rencontrés. Ni nous ni tous les gens que je connais, ni tous les habitants de la commune, du canton, du département et peut être de la région.
Comme il est impossible d’établir ce lien, nous avons du coup trente millions de gens sains mais peureux et obéissants qui portent des masques pour se parler, alors qu’il y a quelque part vingt porteurs, peu contagieux, dont on ne sait absolument pas où ils sont.
Et pendant ce temps là se votent des lois liberticides, auxquelles plus personne en s’intéresse.
Réveillez-vous et dites ça suffit, parce que moi j’en ai ras le bol de puis longtemps.
Michel Costadau
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